Where it happened: In her student room
Langauge: French
Sex: Male
Rating: 5
Category: Straight
Je connaissais Anne-Françoise depuis une dizaine d’années : nous avions été condisciples dans la même classe de collège. Nombreux étaient déjà les gosses de notre classe qui lorgnaient sur ses gros seins, tant ils étaient disproportionnés pour son âge et je l’avais déjà vue se faire peloter à la sauvette entre deux interclasses par certains garçons qui la croisaient sans même la connaître. Elle prenait ça avec philosophie et, du haut de ses treize ans, elle repoussait vivement les mains qui, au passage, s’agrippaient à sa généreuse poitrine en poussant des cris suraigüs. C’était alors pour moi une bonne copine, rien de plus, et nous nous mettions à côté en cours de latin pour discuter car nous nous ennuyions fort.
Quelle ne fut pas ma surprise lorsque je la retrouvai neuf ans plus tard à l’université alors que je venais de déménager ! Je ne pensais plus à elle depuis des années, nos lettres s’étaient espacées mais elle avait alimenté mes fantasmes masturbatoires plusieurs fois sans que je fisse toutefois sur elle une quelconque fixation. Plus d’une fois j’avais rêvé de ses gros seins laiteux que j’essayais d’imaginer libérés du carcan du soutien-gorge et cette simple image suffisait à faire jaillir mon sperme avec force.
Lorsque je la retrouvai, Anne-Françoise avait alors un copain…et même plusieurs car elle était très chaude. Dépucelée peu avant sa majorité avec un Néerlandais de plusieurs années son aîné, elle prenait la pilule depuis longtemps et en savait long sur le sexe, nettement plus sur la pratique que sur la théorie. Moi, c’était strictement l’inverse. J’avais consacré des années à mes études et je ne le regrettais pas mais j’étais puceau au sens physiologique du terme car même si j’avais peloté plusieurs nanas, jamais mon membre viril n’avait eu l’occasion de connaître la douceur moite et étroite d’un petit vagin musclé.
Ni beau ni moche, je fus étonné quand Anne-Françoise ne fit aucune difficulté pour me connaître plus intimemement. Elle passait ses soirées en boîte avec son (ses)copain(s) d’université tandis que son légitime, qui travaillait dans la banlieue parisienne, comptait sur elle, sur sa vertu, et échaffaudait certainement des projets d’avenir. Il était servi : sa “légitime” était en fait une petite nympho très libérée qui adorait jouer les fausses ingénues mais qui savait parfaitement que ses énormes mamelles blanches attiraient les mâles comme le miel attire les ours. Et comme elle adorait plaire, nombreux étaient ses favoris et elle en jouait avec délice. Je fus de ceux-là. Un peu plus peut-être car notre amitié avait commencé bien longtemps auparavant, mais même aujourd’hui j’ai du mal à comprendre ce qui se passait dans son esprit. Une chose était sûre : elle aimait le sexe et revoyait son copain au moins un week-end sur deux. Je devins jaloux de cet homme de dix ans mon aîné. J’avais certainement tort car Anne-Françoise se partageait plus que généreusement et ne m’a jamais frustré d’une étreinte, m’offrant elle-même bientôt son anus lorsque son vagin était trop endolori par les saillies successives. Mais j’en reviens à cette première fois.
Deux mois après notre rencontre nous avions pris l’habitude de dormir tantôt dans sa chambre d’étudiante, tantôt dans la mienne. Ce fut dans la sienne qu’elle me chevaucha un soir, lumière allumée, tandis que je me délectais de la danse de ses gros seins nus aux larges aréoles roses. Elle saisit mon sexe et le glissa dans le sien. Elle ignorait que j’étais puceau et cela me “sauva” car elle m’avoua plus tard que jamais elle n’aurait alors entrepris une relation de ce type avec moi si elle l’avait su. (Elle cherchait des mâles expérimentés pour la faire jouir très fort). Je sus, pour ma part, donner le change : je ne jouis pas immédiatement dans sa chatte blonde mais fus surpris par ma première découverte d’un vagin : la douceur et la chaleur du velours, la texture glissante du satin, ce fut la métaphore qui me vint à l’esprit tandis qu’Anne-Françoise, toute nue, s’empalait de haut en bas sur ma verge en gémissant, me faisant face, et offrant au pelotage de mes mains avides ses mamelles bondissantes. Elle jouissait facilement dans cette position qui lui laissait l’initiative et nous la pratiquâmes durant plusieurs semaines avant de passer à la levrette.
Nous jouîmes ce jour-là presque en même temps. Elle me jugea (à ma grande surprise) un “bon coup” car, au bout d’un an, elle fit de moi son copain attitré (ce qui ne l’empêcha pas de me tromper à mon tour à droite et à gauche).
Je ne regrette pas que notre relation se soit brisée ; ça devenait dangereux car elle détestait les capotes (“Tu manges des gâteaux avec leurs emballages, toi ?”) et puis, que construire de durable et de sérieux avec une fille pareille ? Marié avec elle, j’eusse été le roi des cocus, mais je n’oublie pas mes premiers émois d’homme devant l’Eternel Féminin. Je lui dois peut-être l’essentiel : une confiance en moi qui me faisait défaut et une initiation poussée à de nombreuses pratiques sexuelles. Lorsque nous nous séparâmes au bout de trois ans, j’avais, avec elle, presque tout expérimenté : branlette espagnole, éjac dans la bouche, sur les seins, dans l’anus, anilingus, nudisme, baise pendant les règles, tampon retiré avec les dents, coït sous-marin, 69, baise menottée, fellations avec la verge barbouillée de nutella, de miel, léchage des couilles, baise en sex-shop, sortie en ville sans culotte sous sa jupe et sans soutif sous son T-shirt, photos érotiques, tenue de pute (elle adorait les porte-jaretelles et en avait tout un tiroir plein), baise en extérieur, griffage pendant le coït (elle avait des ongles magnifiques), etc.etc…
Le sexe était le ciment de notre relation. Elle voulait essayer avec moi et un autre homme en même temps : nous n’en eûmes pas le temps. Un autre a certainement accompli son fantasme à ma place et, à vrai dire, j’en suis heureux pour elle.
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